jeudi 31 juillet 2014

Home, sweet home...

Nous savions déjà que nous vivions dans un petit coin de planète pas mal du tout mais j'ai découvert cette semaine que le quotidien américain USA TODAY a désigné en 201 San Luis  Obsipo comme the happiest place in the USA. Alors, je m'en vais vous faire découvrir aujourd'hui notre petit coin de paradis.

La maison que nous habitons est très agréable avec sa grande cuisine, ses deux salons et ses 4 chambres. Nous nous y sentons bien. Elle est très lumineuse et très grande : nous avons doublé la surface habitable en comparaison avec celle de Vineuil. Autant vous dire que lorsque j'empoigne mon aspirateur tout neuf, j'y passe un petit moment...

Le jardin, quand à lui, n'est pas en reste. Nous y avons trouvé toute sortes de fruits : citrons et  mandarines font notre joie du moment. Nous aurons plus tard des pommes et des oranges. Quand aux poires, je crois que nous n'en verrons pas la couleur car l'arbre est encore trop petit. Pour les fraisiers, un petit peu d'eau afin de les réhydrater et les voilà à nouveau en fleurs !


Tout cela manquait un petit peu de légumes alors je me suis empressée de planter des tomates et des courgettes.



David, de son côté, a semé de la salade. 



Bon, d'accord, pour les amateurs, pas question de faire un foot dans le jardin car il n'y a pas un carré de pelouse. Pas de tonte donc ce qui ravi David ! Il a plus de temps pour pédaler le week-end. Cependant, les endroits agréables pour bouquiner tranquille ne manquent pas, profitant ainsi des nombreuses roses...



sans oublier les hortensias sans qui cette maison ne serait pas tout à fait notre home, sweet home.



Pour Consulter l'article de USA Today sur San Luis Obispo, cliquer ici
Pour voir une vidéo extrait du célèbre Oprah Winfrey Show, cliquer 

1 commentaire:

  1. C’est bien joli chez vous ! Très pro l’arrosage goutte à goutte. Nous sommes près de Quimper, où l’arrosage est un peu trop copieux ! On vit avec…
    Bel été et bises bretonnes atlantiques à vous trois. F&R
    PS : en raison d’une délocalisation temporaire, bilati chouya pour la r’cette dial couscous

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